Un sentier escarpé, une montée qui brûle les cuisses, et cette sensation d’avoir tout donné sur un trail : voilà mon quotidien. Passionné de courses en pleine nature, je sais combien l’alimentation sculpte nos performances. Aujourd’hui, penchons-nous sur un produit qui fait jaser dans les sacs de ravitaillement : Lindahls Pro+, signé Nestlé. Yaourt protéiné ou arme secrète des athlètes ? Les sportifs, traileurs comme moi, l’ont testé sous toutes les coutures. Verdict ? Entre promesses alléchantes et réalité sur le terrain, je vous emmène dans une exploration gustative et technique. Attachez vos lacets, on part à l’assaut des détails.
Sommaire
Présentation de Lindahls Pro+

Lindahls Pro+
Sous son packaging épuré, Lindahls Pro+ affiche fièrement ses ambitions. Avec 20 grammes de protéines par portion, ce quark – mi-yaourt, mi-fromage frais – se pose en allié des muscles fatigués. Peu de sucres, encore moins de gras : Nestlé joue la carte de la légèreté. Les saveurs ? Vanille douce, fruits rouges acidulés ou nature brut. Un produit taillé pour ceux qui, comme moi, enchaînent les kilomètres en montagne et cherchent une recharge rapide.
Les promesses de Nestlé
La marque helvétique ne lésine pas sur les superlatifs. « Boostez vos performances », clame-t-elle. Destiné aux sportifs exigeants, Lindahls Pro+ mise sur une digestion facile et un apport protéique immédiat. Mais derrière ces mots bien choisis, le terrain parle-t-il le même langage ? Traileur aguerri, j’aime les faits plus que les slogans. On verra ça plus loin, avec les retours du peloton.
Une texture qui intrigue
Épaisse, presque crémeuse, cette texture déroute au premier abord. Pas tout à fait un yaourt, pas vraiment un fromage. Elle divise : certains y voient une gourmandise, d’autres une épreuve. Pour un coureur comme moi, habitué aux gels énergétiques avalés à la hâte, ce côté dense peut surprendre. Mais question satiété, difficile de faire mieux après une descente vertigineuse.
Pourquoi les sportifs choisissent Lindahls Pro+ ?

Un shot de protéines : Lindahls Pro+ au service des muscles
Après un trail de 30 kilomètres, les quadriceps crient famine. Les 20 grammes de protéines par pot tombent à pic pour réparer les fibres musculaires malmenées. La science est claire : un apport rapide post-effort accélère la récupération. Moi, sur les crêtes, je rêve d’un carburant efficace. Lindahls coche cette case avec panache.
Praticité extrême : Lindahls Pro+ dans le sac à dos
Pas besoin de shaker ni de poudre qui s’éparpille dans le vent. Ce petit pot se glisse dans une poche de mon gilet de trail. Un coup de cuillère entre deux ravitos, et l’énergie revient. Les traileurs savent : chaque gramme compte. Avec sa légèreté et son format nomade, Lindahls Pro+ devient un compagnon discret mais redoutable.
Le goût
Vanille onctueuse ou fruits rouges pétillants, les saveurs tiennent la route. Pas de cet arrière-goût chimique qui hante certains produits protéinés. Sur une pause en altitude, face à un panorama à couper le souffle, ce petit plaisir gustatif rebooste le moral. Les puristes du nature, eux, apprécient sa neutralité pour des mélanges audacieux.
Lindahls Pro+ : Que disent les utilisateurs actifs ?

Avis positifs
Dans les groupes de coureurs, les éloges fusent. « Un vrai régal après l’effort », lance un marathonien des sentiers. La satiété immédiate séduit ceux qui, comme moi, détestent rentrer affamés. Le goût, souvent jugé équilibré, rallie les suffrages. Quant à l’apport protéique, il convainc les adeptes de l’ultra-trail, où chaque muscle compte.
Les bémols
Tout n’est pas rose sur les chemins escarpés. Certains pestent contre une texture trop compacte, presque collante en bouche. « On dirait du plâtre », ose un coureur audacieux. Le prix, aussi, fait grincer des dents : autour de 2 euros le pot, ça pique pour un budget trail déjà serré. Mon avis ? Ça dépend de vos priorités.
Mon expérience perso
Testé après un 45 kilomètres dans les Alpes, ce quark m’a bluffé par sa capacité à calmer ma faim. La vanille, douce sans être écœurante, m’a offert un moment de répit. Mais soyons francs : à ce tarif, je m’attendais à une révolution. Solide, oui. Inoubliable, pas encore. Un traileur comme moi pardonne beaucoup, sauf la monotonie. J’adore, autant que Andros Sport !
Pourquoi je vous recommande Lindahls Pro+ de Nestlé ?

Courir en montagne, c’est ma drogue. Les sentiers boueux, les montées qui cassent les jambes, les descentes où le cœur s’emballe : j’adore ça. Mais pour tenir la distance, il faut nourrir le moteur. Lindahls Pro+ ? Je l’ai adopté, et pas juste pour faire joli dans mon sac.

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⚡ Voir les nouveautés i-RunPour ses protéines qui cognent fort
Après un 50 kilomètres dans les Alpes, mes muscles hurlent. Avec 20 grammes de protéines par pot, Lindahls Pro+ ne rigole pas. Ça tape direct là où ça compte : les fibres qui ont morflé sur les cailloux. Moi, j’aime sentir que mon corps se reconstruit vite. Pas de blabla, juste du concret pour repartir sur les crêtes dès le lendemain. Les traileurs sérieux savent : sans protéines, on reste au fond du ravin.
Un goût qui change des gels infects
Les gels énergétiques, soyons honnêtes, c’est souvent une punition. Ce goût chimique qui colle au palais ? Très peu pour moi. Lindahls Pro+ balance autre chose : une vanille qui apaise ou des fruits rouges qui réveillent. Sur une pause à 1800 mètres, face à un lac gelé, ouvrir ce pot, c’est presque un luxe. Un sportif comme moi, ça lui redonne le sourire avant d’attaquer la prochaine bosse.
Facile à dégainer sur le sentier
Un pot léger, pas de mélange à bidouiller, une cuillère et hop, c’est plié. Dans mon gilet de trail, ça prend zéro place. Entre deux singles, quand la faim cogne, Lindahls Pro+ se sort plus vite qu’un bâton pliable. Pas de prise de tête, juste un carburant prêt à l’emploi. Les coureurs pressés ou les maladroits comme moi – oui, j’ai déjà renversé ma poudre dans la boue – vont kiffer cette simplicité.
Parce que ça cale sans plomber
La satiété, c’est mon obsession après une longue sortie. Ce quark, avec sa texture épaisse, remplit l’estomac sans cet effet lourdingue qui te cloue sur place. Après un trail sous la pluie, rentrer trempé mais rassasié, ça change la donne. Ça tient au corps, mais ça te laisse léger pour la prochaine montée. Les affamés chroniques, ceux qui dévorent tout au ravito, vont trouver leur maître avec ça.
Lindahls Pro+ face à la concurrence

Lindahls Pro+ contre Skyr
Le Skyr, star islandaise, talonne Lindahls avec ses 15-18 grammes de protéines. Moins cher, il séduit les économes. Mais Lindahls riposte avec une texture plus riche et un goût moins acide. Sur un sentier boueux, je penche pour le confort de Lindahls. Question budget, le Skyr garde une longueur d’avance.
Yaourts classiques : Lindahls Pro+ sort du lot
Face aux yaourts traditionnels, souvent pauvres en protéines (5-7 grammes), Lindahls joue dans une autre catégorie. Les coureurs occasionnels s’en contentent peut-être. Moi, après une ascension à 2000 mètres, j’exige plus. Nestlé l’a compris : ce produit vise les ambitieux, pas les dilettantes.
Quel verdict ?
Si votre portefeuille suit, Lindahls Pro+ s’impose par sa densité nutritionnelle. Sinon, le Skyr ou une poudre protéinée font l’affaire. Mon choix ? Je garde un pot dans mon sac pour les longues sorties. Mais pour les trails courts, je reste fidèle à mes mélanges maison. À vous de trancher sur la ligne de départ.
Comment intégrer Lindahls Pro+ dans une routine sportive ?
Après l’effort
La fenêtre magique des 30 minutes post-trail ? C’est là que ce quark brille. Les protéines rapides fusent vers les muscles, et la faim s’évanouit. Après une descente technique, je savoure ce rituel : un pot, une vue sur les cimes, et le corps se régénère en silence.
Au petit matin
Avant une course matinale, j’aime un départ solide. Un Lindahls nature, agrémenté de granola et de myrtilles sauvages, tient au corps sans alourdir. L’énergie monte doucement, parfaite pour attaquer un singletrack sinueux. Les lève-tôt apprécieront cette simplicité raffinée.
En snack
Entre deux cols, pas question de s’encombrer. Ce pot compact se dégaine vite, sans chichi. Mélangé à une poignée de noix, il devient un encas d’élite. Les traileurs gourmands, eux, osent un filet de miel. Résultat ? Une pause qui allie plaisir et efficacité.
Quentin, 26 ans, passionné de trail : suivez mes aventures au cœur des sentiers, entre défis sportifs et communion avec la nature.