La marque finlandaise Suunto propose en 2026 une gamme de montres GPS diversifiée comprenant les modèles Run, Race S, Race 2, Vertical 2 et Ocean. Des montres ultra-légères pour la course à pied aux modèles outdoor dotés d’écrans géants, chaque sportif trouvera son bonheur selon son budget et sa pratique. Ce guide détaillé vous aide à comprendre les différences entre ces modèles et à faire le bon choix.
Sommaire
- 1 La révolution Suunto : une nouvelle ère commence
- 2 Race S
- 3 Race 2
- 4 Vertical 2
- 5 Ocean
- 6 Navigation et cartographie : l’expertise Suunto
- 7 Capteurs et précision
- 8 Analyse d’entraînement : Suunto Coach AI
- 9 Fonctions connectées
- 10 Robustesse et durabilité : construites pour durer
- 11 Tableau comparatif global : faire le bon choix
La révolution Suunto : une nouvelle ère commence
Suunto a profondément transformé son catalogue ces dernières années. Le constructeur finlandais a abandonné les anciens écrans transflectifs au profit de l’AMOLED sur l’ensemble de sa gamme actuelle. Cette évolution technologique s’accompagne d’une amélioration spectaculaire de la précision GPS grâce aux puces multi-GNSS double fréquence.
La philosophie reste identique depuis les débuts de la marque : créer des outils robustes et fiables pour les aventuriers. Mais l’approche a évolué. Plutôt que de multiplier les références, Suunto concentre ses efforts sur quelques modèles phares, chacun répondant à un besoin précis.
Suunto Run : l’essentiel pour courir malin
Lancée en 2025, la Suunto Run révolutionne le segment d’entrée de gamme. Vendue 249 €, elle casse les codes en proposant un cardio optique performant, un altimètre barométrique et une autonomie honorable dans un boîtier de seulement 36 grammes.
Son écran OLED de 1,32 pouces (466 x 466 pixels) affiche des données nettes et contrastées. La molette digitale rend la navigation intuitive, même en courant sous la pluie. Le bracelet textile se révèle confortable et absorbe bien la transpiration.
Les profils dédiés à la course impressionnent : route, piste, trail, marathon et tapis de course bénéficient chacun d’une configuration optimisée. Les runners apprécieront la mesure de puissance au poignet sans capteur externe, une fonction généralement réservée aux montres haut de gamme.
L’autonomie atteint 20 jours en mode montre et 30 heures avec le GPS activé. De quoi boucler plusieurs marathons sans recharger. Le lecteur MP3 intégré évite d’emporter son téléphone lors des sorties.
Quelques limites tempèrent l’enthousiasme. Pas de cartographie, ce qui rend la navigation moins confortable en terrain inconnu. L’étanchéité se limite à 5 ATM, suffisante pour nager mais juste pour les sports nautiques intensifs. Le verre Gorilla Glass résiste moins aux rayures que le saphir équipant les modèles premium.
Suunto a fait le choix de la non-réparabilité sur ce modèle pour réduire les coûts. Un compromis discutable à l’heure où la durabilité devient primordiale. Les outils Suunto Plus ne sont pas disponibles non plus, privant les utilisateurs de quelques fonctions avancées.
Race S

Format réduit ne signifie pas fonctionnalités amputées. La Race S combine un boîtier de 45 mm avec la cartographie complète Suunto. Son prix d’entrée à 349 € en fait actuellement la montre GPS cartographique la moins chère du marché.
Les cartes basées sur OpenStreetMap affichent un niveau de détail remarquable. Les sentiers, routes et chemins apparaissent avec précision. La navigation turn-by-turn guide efficacement lors des sorties trail ou vélo. L’écran de 1,32 pouce reste lisible malgré sa taille modeste.
Disponible en versions acier (349 €) et titane (450 €), elle séduit les poignets fins. Les 53 grammes de la version titane passent inaperçus au quotidien. La molette digitale facilite le zoom sur les cartes d’un simple mouvement du pouce.
L’autonomie grimpe à 40 heures en mode GPS classique. Le mode éco pousse jusqu’à 60 heures sans sacrifier la précision. Pour un ultra-trail, cette endurance devient déterminante.
Les outils Suunto Plus enrichissent l’expérience
Ces applications téléchargeables ajoutent des fonctionnalités selon les besoins :
- Assistant de côtes (ClimbPro) pour visualiser chaque montée
- Test de Cooper pour évaluer sa VO2max
- Météo en temps réel pendant l’effort
- Segments Strava Live pour se mesurer à la communauté
- Conseils nutritionnels pendant les longues sorties
L’application mobile centralise l’analyse des performances. L’intelligence artificielle Suunto Coach commente chaque séance et propose des ajustements d’entraînement. Les graphiques sur 8 semaines permettent de suivre sa progression.
La Race S fait quelques compromis pour atteindre ce prix. Le verre Gorilla Glass remplace le saphir inrayable. L’étanchéité descend à 5 ATM au lieu de 10 ATM sur les modèles supérieurs. Acceptable pour la natation en piscine, ces caractéristiques limitent l’usage outdoor extrême.
Race 2

Difficile de ne pas remarquer l’écran de 1,5 pouce (38 mm) qui équipe la Race 2. Cette diagonale exceptionnelle transforme radicalement le confort d’utilisation. Les cartes gagnent en lisibilité. Les données s’affichent sans fatigue visuelle même après plusieurs heures d’effort.
La définition reste identique (466 x 466 pixels) mais la densité diminue légèrement. Aucun impact visible à l’œil nu. La bordure autour de l’écran s’affine considérablement par rapport aux anciennes générations. Le ratio surface utile / surface totale atteint 60%, un excellent score.
Proposée en acier (499 €) ou titane (599 €), la Race 2 pèse respectivement 76 et 65 grammes. Le verre saphir protège efficacement l’écran des rayures. L’étanchéité grimpe à 10 ATM, rassurant pour toutes les activités nautiques.
La plateforme logicielle nouvelle génération apporte une fluidité remarquable. Les menus se déploient instantanément. Le zoom sur la carte réagit sans latence. Cette réactivité rend l’interaction naturelle et agréable.
Autonomie : Suunto frappe fort
Les 30 jours en mode montre impressionnent. En utilisation GPS intensive :
- 55 heures en mode double fréquence (précision maximale)
- 65 heures en mode multi-GNSS simple fréquence
- 90 heures en mode économique
Ces performances placent la Race 2 parmi les meilleures montres AMOLED en termes d’endurance. Seule la Garmin Fenix 8 (modèle 51 mm) fait légèrement mieux avec 84 heures.
Le gestionnaire de batterie affiche l’autonomie restante en temps réel. On visualise instantanément l’impact de chaque réglage. Activer la cartographie réduit l’autonomie de 10%. Passer en mode double fréquence coûte 20% supplémentaire.
La Race 2 embarque le capteur cardio optique le plus récent de Suunto avec 6 LED. La précision s’améliore nettement, particulièrement lors des fractionnés. Les tests montrent une fiabilité comparable aux ceintures thoraciques dans la majorité des situations.
L’algorithme Snap to Route corrige les imprécisions GPS en rattachant la position au tracé prévu. Fini les zigzags parasites qui faussent la distance parcourue. En ville comme en montagne, la trace enregistrée reste propre et exploitable.
Vertical 2

Même boîtier de 49 mm, même écran géant de 1,5 pouce. La Vertical 2 partage l’essentiel de son ADN avec la Race 2. Pourtant, quelques différences stratégiques la positionnent différemment.
Premier changement notable : la lampe LED intégrée. Puissante et orientable, elle illumine efficacement le sentier lors des sorties nocturnes. Au bivouac, elle remplace avantageusement la frontale. Cette fonction peut sembler anecdotique mais se révèle précieuse en montagne.
L’autonomie progresse encore grâce à une batterie plus grosse. Comptez 40 jours en mode montre et jusqu’à 110 heures en mode GPS économique. Cette endurance exceptionnelle rassure pour les raids de plusieurs jours en autonomie complète.
La contrepartie ? Un poids de 87 grammes en version acier, 74 grammes en titane. Ces quelques grammes supplémentaires se ressentent peu au poignet mais peuvent gêner lors d’efforts intenses.
Boutons versus molette : une question de contexte
Suunto abandonne la molette digitale sur la Vertical 2. À la place, trois boutons classiques plus larges facilitent la manipulation avec des gants épais. En alpinisme, ski de randonnée ou expédition polaire, cet avantage devient déterminant.
La navigation perd en intuitivité sans la molette pour zoomer. Il faut utiliser les boutons haut/bas, moins naturels. Mais les montagnards privilégieront la fiabilité dans toutes les conditions.
Les cornes métalliques renforcent la solidité du boîtier. Sur la Race 2, elles sont en plastique renforcé, suffisant pour un usage normal mais potentiellement fragiles en cas de choc violent. La Vertical 2 encaisse mieux les mauvais traitements. En complément avec des Suunto Wing 2, j’adore !
Les tarifs s’établissent à 599 € (acier) et 699 € (titane). L’écart de 100 € avec la Race 2 se justifie par l’autonomie supérieure et la lampe. Les aventuriers trouveront ces fonctions indispensables. Les sportifs urbains économiseront en choisissant la Race 2.
Ocean

La Suunto Ocean occupe un créneau très spécifique. Cette montre hybride combine un ordinateur de plongée complet avec toutes les fonctions des autres modèles Suunto. Vendue 799 €, elle s’adresse aux plongeurs réguliers pratiquant aussi d’autres sports.
Son écran AMOLED de 1,43 pouce offre une excellente lisibilité sous l’eau. Les informations de décompression s’affichent clairement. L’algorithme Bühlmann 16 gère les paliers avec précision. Les modes monogaz et multigaz couvrent du nitrox à l’air enrichi.
Le profondimètre descend jusqu’à 60 mètres, largement suffisant pour la plongée loisir. Les données de pression et consommation de gaz s’actualisent en temps réel. Les alarmes programmables surveillent les paramètres critiques.
Mais l’Ocean innove surtout avec sa navigation inertielle 3D. Sans signal GPS sous l’eau, elle enregistre le parcours grâce à ses capteurs de mouvement. L’application restitue ensuite une visualisation tridimensionnelle de la plongée. Impressionnant technologiquement et utile pour retrouver des spots.
Un poids qui se justifie
Avec ses 99 grammes, l’Ocean devient la plus lourde de la gamme. Cette masse s’explique par les capteurs supplémentaires et les matériaux renforcés. Pour la plongée, ce poids passe inaperçu. Pour le running quotidien, il devient plus perceptible.
Le boîtier de 50 mm conviendra aux poignets moyens à larges. Les petits gabarits se tourneront vers des modèles plus compacts. L’épaisseur de 13,2 mm reste raisonnable malgré l’électronique embarquée.
L’autonomie atteint 26 jours en mode montre et 65 heures en GPS multi-GNSS. Des performances honorables compte tenu de la consommation des capteurs de plongée.
Face à la Garmin Descent Mk3 vendue nettement plus cher, l’Ocean propose un excellent rapport fonctionnalités/prix. Les plongeurs apprécieront de ne plus avoir à investir dans deux appareils distincts.
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Toutes les montres Suunto (sauf la Run) embarquent la cartographie OpenStreetMap. Ces cartes gratuites couvrent le monde entier avec un niveau de détail satisfaisant. Les sentiers de randonnée, pistes cyclables et routes secondaires apparaissent clairement.
L’application Suunto excelle dans la planification d’itinéraires. Son interface intuitive permet de tracer un parcours en quelques minutes. Les cartes de chaleur affichent les itinéraires les plus empruntés par la communauté pour une douzaine de sports différents.
La visualisation en 3D relief aide à anticiper le profil d’une sortie. On repère immédiatement les passages raides. Le code couleur des chemins indique le type de revêtement : asphalte, terre, cailloux. Pratique pour choisir ses chaussures.
L’outil calcule automatiquement la distance et le dénivelé. Il propose d’éviter les côtes ou au contraire de les rechercher. Le tracé peut être envoyé en un clic vers la montre pour être suivi en temps réel.
Pendant l’effort, les indications virage par virage guident sans avoir à consulter constamment l’écran. Une vibration et une flèche indiquent la direction à prendre. Le système anticipe les changements de direction de plusieurs dizaines de mètres.
L’écran de profil altimétrique montre l’ensemble du parcours. Depuis l’été 2024, un écran ClimbPro détaille chaque montée individuellement : pourcentage de pente, distance et dénivelé restant. Cette fonction rassure psychologiquement en fractionnant l’effort.
L’algorithme Snap to Route constitue une innovation majeure. Plutôt que d’enregistrer la trace GPS brute, il rattache chaque point au tracé prévu. Résultat : une distance parfaitement exacte, sans les erreurs classiques liées aux rebonds du signal GPS en ville ou sous les arbres.
Les POI (points d’intérêt) se créent facilement. On peut aussi naviguer simplement à la boussole vers un cap déterminé. Le fil d’Ariane affiche le chemin parcouru pour faciliter le retour.
Capteurs et précision

La précision GPS a longtemps été un point faible de Suunto. Cette époque est révolue. Les tests comparatifs placent désormais les montres finlandaises au sommet de la hiérarchie en matière de fiabilité de localisation.
Le mode multi-GNSS double fréquence exploite simultanément GPS, GLONASS, Galileo et Beidou sur deux bandes de fréquence. Cette redondance améliore drastiquement la précision en milieu difficile : immeubles, forêt dense, vallées encaissées.
Le mode simple fréquence offre déjà d’excellents résultats tout en préservant l’autonomie. C’est le réglage par défaut, pertinent pour la majorité des sorties. Seuls les parcours très techniques justifient d’activer la double fréquence.
Cardio optique : six LED pour plus de fiabilité
Les derniers modèles (Race 2, Vertical 2) embarquent un capteur à 6 LED. Cette multiplication des sources lumineuses améliore la qualité du signal, particulièrement chez les personnes à peau foncée ou lors d’efforts fractionnés intenses.
La mesure reste moins fiable qu’une ceinture thoracique lors de sprints répétés. Mais pour l’entraînement quotidien, la précision suffit largement. Les courbes de fréquence cardiaque suivent fidèlement les variations d’intensité.
L’oxymètre de pouls mesure la saturation en oxygène du sang. Utile en altitude pour surveiller l’acclimatation. La nuit, il détecte les éventuelles apnées du sommeil.
La variabilité de fréquence cardiaque (VFC) se mesure automatiquement chaque nuit. Cet indicateur reflète l’état de récupération du système nerveux. Une VFC basse signale une fatigue excessive nécessitant du repos.
L’altimètre barométrique calcule l’altitude par la pression atmosphérique. Plus précis que l’altitude GPS, il affiche le dénivelé avec une marge d’erreur minime. L’étalonnage automatique corrige les variations météorologiques.
Analyse d’entraînement : Suunto Coach AI
L’intelligence artificielle investit massivement l’analyse sportive. Suunto Coach AI commente chaque sortie en langage naturel. Plutôt que des graphiques arides, on obtient des explications compréhensibles.
Après un footing, l’application indique si l’intensité était appropriée, si la récupération semble suffisante, si la charge d’entraînement suit une progression cohérente. Ces commentaires personnalisés aident à ajuster son programme.
L’outil génère aussi des plans d’entraînement sur mesure. On définit un objectif (5 km, marathon, trail) avec une date cible. L’algorithme construit un programme adapté au niveau actuel. Les séances se synchronisent automatiquement avec la montre.
Le plan s’adapte dynamiquement selon la forme du moment et les séances réalisées. Raté un entraînement ? Le programme se réorganise pour compenser. Progressé plus vite que prévu ? L’intensité augmente.
Métriques avancées pour progresser
Les montres Suunto calculent de nombreux indicateurs physiologiques :
- VO2max estimée par sport
- Seuil lactique
- Charge d’entraînement aigüe et chronique
- Niveau de récupération quotidien
- Prédiction de temps de course
- Niveau d’entraînement (score global)
La puissance de course se mesure directement au poignet, sans capteur Stryd. La précision rivalise avec les pods externes sur terrain plat. En montagne, les écarts se creusent mais la tendance reste exploitable.
Les dynamiques de course incluent la cadence, le temps de contact au sol, l’oscillation verticale. Ces paramètres techniques intéressent les coureurs cherchant à optimiser leur foulée.
Fonctions connectées
Suunto adopte une approche minimaliste des fonctions smartwatch. Les notifications du smartphone s’affichent intégralement, emojis compris. Mais on ne peut pas répondre directement depuis la montre.
Le contrôle du lecteur de musique fonctionne avec toutes les applications : Spotify, Deezer, YouTube Music. Pratique pour changer de morceau sans sortir le téléphone. Seule la Run embarque un lecteur MP3 autonome.
Le widget météo récupère les prévisions depuis le smartphone. L’alerte orage se base sur les variations barométriques. Combinés, ces outils permettent d’anticiper les caprices météo.
Les watchfaces personnalisables restent peu nombreuses (une dizaine). On choisit surtout les couleurs d’accentuation. Les amateurs de personnalisation poussée préféreront Garmin ou COROS.
Pas de paiement sans contact (sauf Run en Chine), pas d’assistant vocal, pas de réponse aux messages. Suunto se concentre sur l’essentiel sportif plutôt que les gadgets connectés.
Robustesse et durabilité : construites pour durer

Suunto revendique des montres assemblées à la main et réparables. La plupart des modèles (sauf la Run) peuvent être démontés pour remplacer batterie, écran ou composants défaillants. Un atout écologique rare dans l’univers de l’électronique.
La norme militaire MIL-STD-810 garantit la résistance aux chocs, températures extrêmes, humidité et vibrations. Seule la Run échappe à cette certification pour réduire les coûts. Les autres encaissent sans broncher les conditions les plus rudes.
Le verre saphir équipe tous les modèles premium (Race 2, Vertical 2, Ocean). Ce matériau ultra-dur ne se raye quasiment jamais. Après des mois d’utilisation intensive, l’écran reste impeccable. Le Gorilla Glass de la Run et Race S résiste honorablement mais moins bien.
Les bracelets à attache rapide se changent sans outil. Suunto propose textile, silicone ou cuir selon les goûts. Les largeurs standards (22 ou 24 mm) permettent d’utiliser des bracelets tiers.
L’entreprise finlandaise utilise 100% d’énergie renouvelable pour sa production. Les émissions carbone sont compensées par des plantations d’arbres. Une partie de la gamme s’assemble encore en Finlande, le reste en Chine pour optimiser les coûts.
Tableau comparatif global : faire le bon choix
Choisir sa Suunto dépend avant tout de son usage principal :
Coureurs sur route privilégiant la légèreté : Run
Multisport avec cartographie et petit budget : Race S
Performance avec grand écran et excellente autonomie : Race 2
Outdoor extrême et ultra-distance : Vertical 2
Plongée régulière + autres sports : Ocean
Le critère budgétaire guide aussi la décision. La Run démocratise l’accès aux montres GPS performantes. La Race S propose la cartographie au meilleur prix. Les modèles premium justifient leur tarif par des matériaux nobles et une autonomie record.
La taille de poignet compte également. Les modèles de 49-50 mm (Race 2, Vertical 2, Ocean) s’adaptent à tous mais paraissent imposants sur les petits poignets. Run et Race S conviennent mieux aux gabarits fins.
L’écosystème Suunto séduit par sa cohérence. L’application mobile centralise données et analyses. Les outils SuuntoPlus enrichissent l’expérience. La compatibilité avec Hammerhead intéresse les cyclistes. L’expertise outdoor rassure les aventuriers.
Face à Garmin qui domine le marché, Suunto joue la carte du rapport qualité-prix. Fonctionnalités équivalentes, prix inférieurs de 20 à 30%. La marque finlandaise constitue une alternative crédible pour qui refuse de suivre le mouvement.
Quentin, 26 ans, passionné de trail : suivez mes aventures au cœur des sentiers, entre défis sportifs et communion avec la nature.



