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Faire le GR20 : Quel est le temps moyen pour les Français en 2025 ?

Ce nom résonne comme une légende dans l’esprit de tous les amoureux de trail et de randonnée. Traversant la Corse du nord au sud sur près de 180 kilomètres, ce sentier s’impose comme l’un des treks les plus exigeants d’Europe, voire du monde. Passion dévorante pour certains, défi ultime pour d’autres, le GR20 ne laisse personne indifférent.

La première fois que j’ai posé mes chaussures sur ce sentier mythique, j’ai immédiatement compris pourquoi on le surnomme « Fra li Monti » (à travers les montagnes) en corse. L’itinéraire serpente à travers la chaîne montagneuse dorsale de l’île de Beauté, offrant des panoramas à couper le souffle mais exigeant aussi un effort physique considérable.

Ce qui distingue réellement le GR20 des autres sentiers de grande randonnée, c’est son caractère sauvage et technique. Imaginez : des dénivelés importants (environ 13 000 mètres cumulés sur l’ensemble du parcours), des passages exposés nécessitant parfois l’usage des mains, des chemins escarpés sur la roche… Tout cela constitue le charme rugueux de ce trek d’exception.

L’altitude moyenne du sentier oscille entre 1 500 et 2 000 mètres, avec des points culminants tels que le Monte Cinto qui s’élève fièrement à 2 706 mètres. Durant votre périple, vous traverserez des paysages d’une diversité étonnante : forêts de pins laricio centenaires, lacs d’altitude cristallins, plateaux désertiques, crêtes aériennes… Une véritable mosaïque naturelle qui justifie à elle seule l’effort consenti.

La réputation du GR20 n’est pas usurpée. Son tracé exigeant sélectionne naturellement les randonneurs, repoussant ceux qui n’auraient pas suffisamment préparé cette aventure. Toutefois, ne laissez pas cette réputation vous intimider excessivement – avec une préparation adéquate et un respect du sentier, l’expérience devient accessible et profondément gratifiante.

AspectDétails
Durée moyenneRandonneurs moyens : 12 à 15 jours
Randonneurs expérimentés : 7 à 10 jours
Record actuel : 31h06 (François D’Haene)
Caractéristiques techniquesDistance : environ 180 km
Dénivelé positif cumulé : 13 000 m
Altitude moyenne : entre 1 500 et 2 000 m
Point culminant : 2 706 m (Monte Cinto)
Facteurs influençant la duréeCondition physique et expérience en montagne
Météo et saison (idéale : mi-juin à mi-septembre)
Poids du sac (autonomie : 12-18 kg, refuges : 7-10 kg)
Choix de l’itinéraire et variantes
Étapes classiques Nord-SudCalenzana – Refuge d’Ortu di u Piobbu (11 km, +1350m)
Refuge d’Ortu di u Piobbu – Refuge de Carrozzu (7,5 km, +710m, -910m)
Refuge de Carrozzu – Ascu Stagnu (7 km, +700m, -600m)
Ascu Stagnu – Refuge de Tighiettu (8,5 km, +1000m, -630m)
Refuge de Tighiettu – Refuge de Ciottulu di i Mori (8 km, +740m, -550m)
Refuge de Ciottulu di i Mori – Refuge de Manganu (15 km, +400m, -930m)
Refuge de Manganu – Refuge de Petra Piana (10 km, +710m, -470m)
Refuge de Petra Piana – Refuge de l’Onda (7 km, +330m, -690m)
Refuge de l’Onda – Vizzavona (11 km, +570m, -1180m)
Vizzavona – Refuge d’E Capannelle (16 km, +970m, -470m)
Refuge d’E Capannelle – Refuge de Prati (15 km, +560m, -730m)
Refuge de Prati – Refuge d’Usciolu (10 km, +720m, -520m)
Refuge d’Usciolu – Refuge d’Asinau (14 km, +550m, -980m)
Refuge d’Asinau – Conca (21 km, +350m, -1300m)
Particularités du parcoursNord : plus technique, relief escarpé, passages aériens
Sud : étapes plus longues, moins technique, plus méditerranéen
Mi-parcours : Vizzavona (point de ravitaillement majeur)
Points remarquables : passerelle de Spasimata, lac de Nino, arêtes des statues
Conseils pour optimiser son tempsPréparation physique spécifique (dénivelé, terrain technique)
Équipement léger et adapté
Départs matinaux, surtout en été
Fusion stratégique de certaines étapes courtes
Adapter son itinéraire selon les conditions météo

Temps moyen pour parcourir le GR20

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Le rythme standard pour les randonneurs moyens

La question qui brûle les lèvres de tous les aspirants au GR20 concerne invariablement la durée du parcours. Soyons clairs : entre 12 et 15 jours constituent la durée moyenne pour un randonneur disposant d’une condition physique correcte sans être exceptionnelle. Ce rythme permet d’apprécier le sentier sans se mettre excessivement dans le rouge.

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L’itinéraire classique se découpe traditionnellement en 16 étapes officielles, mais rares sont ceux qui les respectent scrupuleusement. La plupart des randonneurs fusionnent certaines étapes courtes pour adapter le parcours à leur niveau et à leurs contraintes temporelles. Cette cadence, avoisinant les 12-15 kilomètres quotidiens avec 800 à 1 200 mètres de dénivelé positif, correspond parfaitement à l’expérience recherchée par la majorité des trekkeurs.

Le temps nécessaire varie considérablement selon la saison. En plein été, quand la chaleur écrasante ralentit inévitablement la progression, comptez plutôt sur le haut de la fourchette. Au contraire, en juin ou septembre, les températures plus clémentes permettent souvent d’optimiser son temps de parcours.

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Performance des randonneurs expérimentés

Pour les randonneurs aguerris ou ceux pratiquant régulièrement le trail en montagne, 7 à 10 jours suffisent généralement pour venir à bout du GR20. Ce rythme soutenu implique des journées plus longues, fusionnant systématiquement plusieurs étapes officielles, et demande une excellente préparation physique.

Personnellement, après plusieurs traversées à différents rythmes, je trouve qu’une dizaine de jours offre le meilleur compromis entre performance sportive et plaisir de l’immersion. Cette cadence permet encore de s’imprégner des paysages sans transformer l’expérience en pure course contre la montre.

Les randonneurs choisissant cette option doivent anticiper des journées de 8 à 10 heures de marche effective, avec peu de temps pour flâner. L’avantage? Un sac plus léger puisque nécessitant moins de ravitaillements.

Les records et performances exceptionnelles

Si vous fréquentez les cercles de l’ultra-trail, vous connaissez probablement les performances vertigineuses réalisées sur le GR20. Le record actuel est détenu par François D’Haene qui a avalé l’intégralité du parcours en 31 heures et 6 minutes en 2016, pulvérisant le précédent record. Une performance stratosphérique qui relève davantage de l’ultra-trail que de la randonnée classique.

D’autres athlètes exceptionnels parviennent à compléter le GR20 en 3 à 5 jours, mais ces performances restent l’apanage d’une infime minorité de sportifs de haut niveau. Ces temps exceptionnels impliquent de courir une grande partie du sentier et de s’affranchir presque totalement des temps de repos.

Ces records, bien qu’impressionnants, ne doivent pas servir de référence pour le randonneur lambda. Ils témoignent simplement de l’attrait qu’exerce ce sentier mythique sur la communauté du trail. Apprécier le GR20 ne signifie pas nécessairement le parcourir à vitesse maximale – la beauté des paysages mérite qu’on prenne le temps de les contempler.

Facteurs influençant la durée du GR20

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Condition physique et expérience en montagne

Le premier facteur déterminant votre rythme sur le GR20 reste indéniablement votre condition physique et votre expérience en terrain montagneux. Un randonneur habitué aux longues distances et aux dénivelés importants progressera naturellement plus vite qu’un novice, même si ce dernier présente une excellente condition cardio-vasculaire générale.

La spécificité du GR20 réside dans l’enchaînement de passages techniques sur plusieurs jours consécutifs. L’endurance musculaire, particulièrement celle des quadriceps pour les descentes, s’avère cruciale. Les premiers jours sollicitent intensément les jambes, créant une fatigue cumulative que seul un entraînement adapté peut atténuer.

L’expérience en montagne joue également un rôle capital. La lecture du terrain, la gestion des passages exposés et l’adaptation aux changements météorologiques rapides constituent des compétences qui ne s’acquièrent qu’avec la pratique. Un randonneur chevronné avancera avec plus d’assurance et perdra moins de temps dans les passages délicats.

L’âge influence également la vitesse de progression, mais de façon moins linéaire qu’on pourrait le penser. Certains septuagénaires bien préparés et expérimentés peuvent aisément dépasser des trentenaires sédentaires. L’essentiel réside dans la préparation spécifique et la connaissance de ses propres limites.

Météo et choix de la saison optimale

Les conditions météorologiques impactent drastiquement les temps de parcours sur le GR20. La saison idéale s’étend généralement de mi-juin à mi-septembre, avec des nuances importantes à considérer.

En début de saison (juin), des névés peuvent encore obstruer certains passages en altitude, ralentissant considérablement la progression et exigeant parfois des détours. L’avantage? Des températures clémentes et une affluence moindre permettent souvent une progression plus fluide.

En plein été (juillet-août), la chaleur peut devenir un adversaire redoutable. Les départs matinaux deviennent impératifs pour éviter les heures les plus chaudes, particulièrement dans la partie sud, plus méditerranéenne. Cette période connaît également une affluence maximale, créant des embouteillages aux passages techniques qui rallongent les temps de parcours.

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Les orages estivaux représentent une autre variable imprévisible. Un orage violent peut immobiliser les randonneurs pendant plusieurs heures, voire compromettre une journée entière. La haute montagne corse génère fréquemment des perturbations localisées difficiles à anticiper, même avec les prévisions météorologiques les plus précises.

Septembre offre souvent un excellent compromis : températures agréables, affluence réduite et conditions généralement stables. Les journées raccourcissent cependant, réduisant la fenêtre de progression quotidienne.

Influence du poids du sac à dos

Sur un sentier aussi exigeant que le GR20, chaque gramme superflu se transforme en ennemi. L’équation est simple : plus votre sac est lourd, plus vous ralentissez et vous fatiguez. Une différence de 3 kilos peut transformer une étape plaisante en calvaire, particulièrement dans les sections à fort dénivelé.

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Les stratégies concernant le poids varient considérablement selon l’approche choisie. Les randonneurs optant pour l’autonomie complète (tente, réchaud, nourriture) transportent généralement entre 12 et 18 kilos. Ceux privilégiant les refuges allègent considérablement leur charge (7-10 kilos), pouvant ainsi maintenir un rythme plus soutenu.

L’expérience du GR20 m’a enseigné que l’ultra-light n’est pas qu’une mode mais une nécessité sur ce sentier particulier. Après plusieurs traversées, j’ai progressivement affiné mon équipement pour ne conserver que l’essentiel optimisé. Cette approche minimaliste mais réfléchie permet d’augmenter significativement la vitesse moyenne sans compromettre la sécurité.

La répartition du poids dans le sac influence également votre équilibre et votre endurance. Un sac mal ajusté ou mal équilibré peut provoquer des douleurs dorsales ou des ampoules, ralentissant considérablement votre progression au fil des jours.

Variantes et choix de l’itinéraire

L’itinéraire officiel du GR20 comporte plusieurs variantes qui peuvent raccourcir ou rallonger significativement le parcours. Le choix entre ces options dépendra de vos objectifs, de votre niveau technique et des conditions du moment.

La variante alpine, plus technique mais souvent plus directe, attire les randonneurs expérimentés recherchant l’essence pure du GR20. La variante basse, plus accessible, permet d’éviter certains passages exposés tout en rallongeant parfois la distance totale.

Certaines sections admettent des alternatives saisonnières, particulièrement en début de saison lorsque la neige persiste en altitude. Ces itinéraires bis allongent généralement le parcours mais garantissent plus de sécurité dans des conditions délicates.

La direction choisie influence également le temps de parcours. Traditionnellement, le GR20 se parcourt du nord au sud, débutant à Calenzana pour s’achever à Conca. Cette direction permet d’affronter les sections les plus techniques au début, quand les jambes sont encore fraîches. Le sud-nord inverse cette logique, avec une difficulté progressive mais une arrivée plus exigeante.

Mon expérience personnelle m’a convaincu que le sens nord-sud reste préférable pour la majorité des randonneurs. Il offre une immersion graduelle dans l’ambiance du GR20 et permet d’aborder les sections les plus engagées du nord avec une énergie optimale.

Découpage par étapes du GR20

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Étapes classiques du nord au sud : le parcours traditionnel

Le découpage traditionnel du GR20 en partant du nord propose généralement 16 étapes officielles, mais peu de randonneurs suivent strictement ce schéma. Voici un découpage réaliste basé sur 13 jours de marche, correspondant à un rythme soutenu mais accessible :

Jour 1 : Calenzana – Refuge d’Ortu di u Piobbu (11 km, +1350m)
Cette première journée constitue une mise en jambe exigeante. Le dénivelé important surprend souvent les randonneurs insuffisamment préparés. Les paysages méditerranéens laissent progressivement place à l’univers montagnard. L’arrivée au refuge offre une vue splendide sur la baie de Calvi.

Jour 2 : Refuge d’Ortu di u Piobbu – Refuge de Carrozzu (7,5 km, +710m, -910m)
Bien que courte en distance, cette étape comprend le célèbre passage de Spasimata avec sa spectaculaire passerelle suspendue. Le sentier alterne entre progression sur la roche et traversée de forêts de pins. Les points de vue sur les aiguilles calcaires rendent cette journée mémorable malgré sa difficulté technique.

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Jour 3 : Refuge de Carrozzu – Ascu Stagnu (7 km, +700m, -600m)
L’étape franchit la Bocca di Stagnu avant de redescendre vers la station de ski d’Ascu Stagnu. Ce passage demande une bonne technique sur rochers, particulièrement par temps humide. Le cirque de la Solitude, autrefois empruntée sur cette portion, est désormais contournée suite à un éboulement mortel survenu en 2015.

Jour 4 : Ascu Stagnu – Refuge de Tighiettu (8,5 km, +1000m, -630m)
Cette journée franchit le point culminant du GR20 Nord à la Bocca Minuta (2218m). Le sentier longe ensuite une crête vertigineuse offrant des panoramas époustouflants sur les vallées environnantes. Cette section cristallise l’essence même du GR20, alternant passages aériens et progression sur des dalles rocheuses.

Jour 5 : Refuge de Tighiettu – Refuge de Ciottulu di i Mori (8 km, +740m, -550m)
Cette étape traverse un paysage minéral saisissant. La progression s’effectue principalement sur des dalles granitiques et des chaos rocheux. L’ambiance haute montagne domine, avec des vues dégagées sur les principaux sommets corses, dont le Monte Cinto, point culminant de l’île.

Jour 6 : Refuge de Ciottulu di i Mori – Refuge de Manganu (15 km, +400m, -930m)
Cette journée marque la transition entre le GR20 Nord et Sud. Plus longue mais moins technique que les précédentes, elle permet de récupérer légèrement. Le sentier descend vers la verdoyante vallée du Niolu avant de remonter vers le refuge de Manganu, situé près d’un lac où la baignade rafraîchissante est appréciée.

Jour 7 : Refuge de Manganu – Refuge de Petra Piana (10 km, +710m, -470m)
Cette étape offre l’un des plus beaux panoramas du parcours avec la traversée des lacs de Nino et Melo. Ces joyaux d’altitude, enchâssés dans un écrin de montagne, justifient à eux seuls l’effort fourni. Le sentier devient plus aérien en approchant du refuge de Petra Piana, perché à 1842 mètres.

Jour 8 : Refuge de Petra Piana – Refuge de l’Onda (7 km, +330m, -690m)
Courte en distance mais exigeante techniquement, cette étape traverse le plateau du Ghiarghe, univers minéral parsemé de blocs granitiques sculptés par l’érosion. La descente technique vers le refuge de l’Onda sollicite intensément les genoux mais offre des vues imprenables sur la vallée de la Restonica.

Jour 9 : Refuge de l’Onda – Vizzavona (11 km, +570m, -1180m)
Cette étape marque la mi-parcours du GR20. L’arrivée à Vizzavona, accessible par la route et le train, constitue souvent un point de ravitaillement majeur. Le sentier traverse une belle forêt de pins laricio avant de rejoindre ce hameau où l’on trouve hôtel, épicerie et possibilités de douche – un luxe apprécié après une semaine en altitude.

Jour 10 : Vizzavona – Refuge d’E Capannelle (16 km, +970m, -470m)
Après Vizzavona, le GR20 Sud présente un profil généralement moins technique mais avec des étapes plus longues. Cette journée traverse des forêts de hêtres et de pins avant de remonter vers les crêtes. Le refuge d’E Capannelle, accessible par la route, propose un confort relatif appréciable.

Jour 11 : Refuge d’E Capannelle – Refuge de Prati (15 km, +560m, -730m)
Cette étape alterne entre sentiers forestiers et progression sur les crêtes. Les paysages s’ouvrent progressivement vers l’est et l’ouest de l’île, offrant des panoramas contrastés entre mer Tyrrhénienne et mer Méditerranée. Le refuge de Prati, niché dans un vallon verdoyant, offre un cadre reposant.

Jour 12 : Refuge de Prati – Refuge d’Usciolu (10 km, +720m, -520m)
La journée comprend la traversée des célèbres arêtes des statues, succession de pitons granitiques aux formes évocatrices. Ce passage aérien mais sans difficulté majeure constitue l’un des moments forts du GR20 Sud. Le refuge d’Usciolu, perché sur la crête, offre des couchers de soleil spectaculaires.

Jour 13 : Refuge d’Usciolu – Refuge d’Asinau (14 km, +550m, -980m)
Cette longue étape traverse des paysages plus méditerranéens. La végétation change progressivement, avec l’apparition du maquis et des chênes verts. La descente technique vers le refuge d’Asinau sollicite fortement les quadriceps après près de deux semaines de marche.

Jour 14 : Refuge d’Asinau – Conca (21 km, +350m, -1300m)
Cette dernière étape, particulièrement longue, peut être scindée en deux en s’arrêtant au refuge de Paliri. Le sentier descend progressivement vers la mer, traversant maquis et forêts de chênes-lièges. L’arrivée à Conca, village perché sur les contreforts montagneux, marque l’achèvement du GR20 – un moment chargé d’émotion pour tous les randonneurs.

Si vous voulez voir l’exploit de cet enfant de 12 ans sur le GR20, par ici.

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Quentin, 26 ans, passionné de trail : suivez mes aventures au cœur des sentiers, entre défis sportifs et communion avec la nature.

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