Putain, quelle affiche ! Le Marseille-Cassis 2025 s’annonce tout simplement dantesque cette année. Quand on parle de la plus belle course du monde – et croyez-moi, ce n’est pas qu’une formule marketing –, on attend forcément du lourd. Mais là, franchement, les organisateurs ont frappé un grand coup. Au milieu des 20 000 dingues qui vont s’élancer sur les 20,8 kilomètres mythiques reliant la Cité phocéenne au petit port de pêche, un nom fait vibrer tous les passionnés : Jimmy Gressier.
Le recordman de France du 5000 mètres au milieu des fadas marseillais, c’est un peu comme inviter Mbappé à un tournoi de quartier. Sauf que Jimmy, contrairement à certaines stars, il vient vraiment pour en découdre. Pas de tourisme, pas de jogging digestif : le bonhomme arrive avec l’intention de laisser une trace indélébile sur cette route de folie qui grimpe vers le col de la Gineste avant de plonger vers Cassis.
Mais ne nous y trompons pas, si Gressier part favori, il ne sera pas seul à jouer les premiers rôles. Le Marseille-Cassis, c’est avant tout une course de caractère où les spécialistes de la route ont souvent leur mot à dire face aux pistards. Décryptage complet du casting de cette édition 2025 qui promet des étincelles. Pour vous déplacer pendant Marseille Cassis, lisez cet article !
| Hommes Elite – Marseille-Cassis 2025 | |||
|---|---|---|---|
| Nom | Nationalité | Performance de référence | Statut |
| Félicien Muhitira | 🇷🇼 Rwanda | 1h01’32 (Marseille-Cassis 2024) 2h06’54 (Marathon 2024) |
Tenant du titre / Grand favori |
| Jimmy Gressier | 🇫🇷 France | Champion du monde 10 000m (Tokyo 2025) Médaillé de bronze 5000m (Tokyo 2025) |
Invité de marque / Sortie longue |
| Ilias Fifa | 🇪🇸 Espagne | 27’41 sur 10 km (Valence 2025) Champion d’Europe 5000m (2016) |
Prétendant au podium |
| Chakib Lachgar | 🇪🇸 Espagne | 1h01’45 sur semi-marathon | Prétendant au podium |
| Mohamed El Talhaoui | 🇲🇦 Maroc | 28’10 sur 10 km (2025) | Prétendant au podium |
| Abdelilah El Maimouni | 🇲🇦 Maroc | 58’08 sur 20 km (Paris 2022) | Prétendant au podium |
| Patrick Keter | 🇰🇪 Kenya | 2h09’34 sur marathon (2025) | Prétendant au podium |
| Faustin Guigon | 🇫🇷 France | 1h03’38 sur semi-marathon Vainqueur Paris-Versailles 2025 |
Premier Français potentiel |
| Igor Bougnot | 🇫🇷 France | 1h03’46 sur semi 59’32 aux 20 km de Paris Champion de France 10 000m (2025) |
Premier Français potentiel |
| Quentin Chiarisoli | 🇫🇷 France | 8ème en 2024 | Premier Français potentiel |
| Sven Durand | 🇫🇷 France | 1h04’37 sur semi-marathon | Premier Français potentiel |
| Maxime Bargetto | 🇫🇷 France | 1h04’48 sur semi-marathon | Premier Français potentiel |
| Femmes Elite – Marseille-Cassis 2025 | |||
|---|---|---|---|
| Nom | Nationalité | Performance de référence | Statut |
| Daisy Jepkemei | 🇰🇿 Kazakhstan | 9’06″66 sur 3000m steeple 30’38″44 sur 10 000m |
Grande favorite |
| Clémence Calvin | 🇫🇷 France | 1h13’32 (Marseille-Cassis 2024) Vice-championne d’Europe marathon (2018) |
Tenante du titre |
| Manon Trapp | 🇫🇷 France | Marathonienne (Mondiaux Tokyo 2025) | Prétendante au podium / En reprise |
| Mélody Julien | 🇫🇷 France | 2h27’08 (Marathon de Chicago – il y a 2 semaines) | Prétendante au podium / En forme |
| Augustine Emeraux-Lombard | 🇫🇷 France | Double vice-championne de France marathon (2024 et 2025) | Prétendante au podium |
| Manon Coste | 🇫🇷 France | 1h14’53 (3ème en 2024) | Prétendante au podium |
| Laurie Maleysson | 🇫🇷 France | 1h07’01 (7ème en 2024) | Prétendante au podium |
| Élise Poncet | 🇫🇷 France | Vice-championne du monde courses de montagne (2019) | Prétendante au podium / Spécialiste montagne |
| Ophélie Serra-Boxberger | 🇫🇷 France | 1h13’47 (2ème en 2024) | Prétendante au podium |
| Autres participants notables | ||
|---|---|---|
| Nom | Profil | Particularité |
| Pierre-Ambroise Bosse | Champion du monde 800m (Londres 2017) | Ambassadeur « Cleanup dossards » – Dossard vert écologique |
| Aude Clavier | Championne de France Elite 5000m (2025) 4 sélections en équipe de France |
Compagne de Jimmy Gressier – Courra avec lui |
| Team MaratoniacK | 8 athlètes du club aixois | Équipés en New Balance FuelCell SuperComp Elite v5 |
| 215 coureurs « Cleanup » | Coureurs éco-responsables | Dossards verts gagnés via ramassage de déchets |
| Records de l’épreuve | |
|---|---|
| Record Hommes | Edwin Kipyego (Kenya) – 57’18 (2015) |
| Record Femmes | Edith Chelimo (Kenya) – 1h05’58 (2017) |
| Meilleure performance française femmes | Mekdes Woldu – 1h09’00 (2022) |
| Dernier coureur sous 1h00 | 2017 (objectif : repasser sous l’heure en 2025) |
| Informations pratiques | |
|---|---|
| Date | Dimanche 26 octobre 2025 |
| Nombre de participants | 20 000 coureurs + 800 bénévoles |
| Distance | 20,8 km |
| Dénivelé positif | Environ 400 mètres |
| Point culminant | Col de la Gineste – 327m d’altitude |
| Horaires départs | 9h00 : Elite / 1h20 / 1h30 (Vague 1) 9h05 : 1h45 (Vague 2) 9h13 : Grand public (Vagues 3 à 9, toutes les 8 minutes) |
| Diffusion TV | France 3 PACA (dès 8h45) Ici Provence radio (dès 8h30) |
| Édition | 46ème édition |
Sommaire
- 1 Jimmy Gressier : le pistard qui va faire parler la route
- 2 Les spécialistes de la route à l’affût
- 3 Le profil du parcours : un juge impitoyable
- 4 20 000 coureurs : une ambiance de dingue
- 5 Les outsiders à ne pas négliger
- 6 Les conditions météo : un facteur X
- 7 Les pronostics : mission impossible ?
- 8 Au-delà de la gagne : l’esprit Marseille-Cassis
Jimmy Gressier : le pistard qui va faire parler la route
Alors Jimmy, on le connaît surtout pour ses exploits sur la piste. Son record de France du 5000m en 12’50″05, c’est du très, très lourd. Le genre de chrono qui fait rentrer un athlète dans l’histoire de l’athlétisme français. Mais le gamin du Nord – parce que oui, c’est un Ch’ti qui va tenter de dompter les calanques – il a cette particularité d’être redoutablement polyvalent.
Sa présence au départ du Marseille-Cassis n’est pas anodine. Jimmy cherche clairement à élargir son registre, à prouver qu’il n’est pas qu’un spécialiste des 12 tours et demi. Et quoi de mieux que cette semi-classique méditerranéenne pour tester ses jambes sur un format différent ? Le parcours, avec son profil tourmenté, devrait parfaitement convenir à sa puissance aérobie hors norme.
Les atouts de Gressier sur ce parcours
Techniquement, Jimmy possède tous les arguments pour briller. Sa VO2 max stratosphérique devrait lui permettre d’encaisser la terrible montée du col de la Gineste sans ciller. Là où d’autres vont souffrir mille morts dans les pourcentages à plus de 10%, lui pourrait bien maintenir une intensité folle.
Son économie de course, travaillée pendant des années sur piste, lui offre également un avantage décisif. Chaque foulée optimisée, chaque mouvement de bras millimétré… Sur 20,8 kilomètres, ces détails techniques font toute la différence. Quand tes concurrents gaspillent de l’énergie dans des mouvements parasites, toi tu files comme une Formule 1 parfaitement réglée.
Mais attention, le Marseille-Cassis n’est pas un 5000m sur bitume. La descente finale vers Cassis peut jouer des tours aux pistards peu habitués à encaisser dans les quadriceps. Jimmy devra gérer intelligemment cette portion piégeuse où les spécialistes de la route excellent généralement. Un faux pas, une crampe, et tout peut basculer.
Faire le suivi coureur de Marseille-Cassis 2025 ici !
Les spécialistes de la route à l’affût
Parce que oui, Jimmy aura en face de lui des coureurs rompus aux spécificités du bitume. Des athlètes qui connaissent ce parcours par cœur, qui l’ont déjà dompté, qui savent exactement où placer leurs accélérations. Le Marseille-Cassis récompense rarement les débutants, aussi talentueux soient-ils.
Les habitués de la course savent qu’il existe mille façons de perdre le Marseille-Cassis et seulement quelques-unes de le gagner. Partir trop vite dans la montée ? Suicide assuré. Gérer trop prudemment et se faire piéger par un groupe qui s’échappe ? Frustration garantie. Tout est question de timing, d’expérience, de feeling.
Les prétendants sérieux au podium
Même si l’article source ne détaille pas exhaustivement tous les noms, on peut parier que les organisateurs ont attiré d’autres pointures. Le Marseille-Cassis bénéficie d’une aura internationale qui attire régulièrement des Kenyans, des Éthiopiens ou des Érythréens capables de martyriser n’importe quel parcours vallonné.
Ces coureurs d’Afrique de l’Est possèdent souvent une résistance mentale et physique impressionnante. Entraînés en altitude, habitués aux parcours montagneux, ils arrivent sur la Côte d’Azur avec des organismes forgés dans des conditions bien plus rudes. Le col de la Gineste ? Une simple bosse à leurs yeux habitués aux montagnes éthiopiennes.
Du côté français, au-delà de Gressier, il faut aussi compter sur les spécialistes du trail et de la montagne qui adorent venir se frotter au bitume marseillais. Ces coureurs hybrides, capables d’alterner séances de fractionné sur piste et sorties longues en dénivelé, peuvent créer la surprise. Leur capacité à souffrir dans les bosses en fait des adversaires redoutables.
Le profil du parcours : un juge impitoyable
Pour comprendre qui peut gagner le Marseille-Cassis, il faut d’abord saisir la nature particulière de ce tracé mythique. Les 20,8 kilomètres ne racontent pas toute l’histoire. Ce n’est pas la distance qui fait mal, c’est ce qu’on en fait.
Le départ depuis le Vieux-Port offre quelques kilomètres relativement plats pour se mettre en jambes. L’occasion de trouver son rythme, de sentir ses sensations, de jauger la concurrence. Mais très vite, la réalité méditerranéenne s’impose : ça va grimper. Et pas qu’un peu.
La montée mythique du col de la Gineste
C’est LE passage clé de la course. Environ 5 kilomètres d’ascension progressive qui culminent au fameux col à 327 mètres d’altitude. Sur le papier, ça peut sembler modeste. Mais quand tu lâches plus de 300 mètres de dénivelé positif d’un coup, crois-moi que tes cuisses se rappellent à ton bon souvenir.
Les pourcentages varient, atteignant parfois des pentes raides qui cassent le rythme. C’est là que les courses se font et se défont. Un groupe compact au pied de la montée peut se disloquer en quelques minutes seulement. Les plus forts creusent l’écart, les autres tentent de limiter la casse.
Découvre les meilleures marques de trail running chez i-Run : chaussures, textile, nutrition… tout ce qu’il te faut pour performer sur les sentiers.
⚡ Voir les nouveautés i-RunJimmy Gressier devra montrer ici toute sa classe. Sa capacité à maintenir une puissance élevée en montée fera la différence. Mais gare à ne pas griller toutes ses cartouches trop tôt. Le sommet du col n’est pas la ligne d’arrivée, loin de là.
La descente vers Cassis : piège ou libération ?
Une fois le col franchi, la route plonge vers Cassis dans une descente spectaculaire. Les calanques défilent, la Méditerranée scintille au loin, le décor est à couper le souffle. Mais attention, romantisme et performance ne font pas toujours bon ménage.
Cette descente technique exige une parfaite maîtrise. Les coureurs peu habitués peuvent perdre un temps fou par prudence excessive. À l’inverse, les téméraires qui attaquent à fond risquent la chute ou la crampe fatale. Trouver le juste équilibre entre audace et raison, voilà le secret.
Les spécialistes du trail excellent généralement dans cet exercice. Habitués à dévaler des sentiers caillouteux en montagne, ils gèrent cette portion bitumée avec une aisance déconcertante. Jimmy Gressier, plus pistard que traileur, devra sortir de sa zone de confort pour rivaliser.
20 000 coureurs : une ambiance de dingue
Au-delà de la bataille des cadors devant, le Marseille-Cassis c’est aussi et surtout une immense fête populaire. 20 000 participants, vous imaginez le délire ? Des coureurs de tous niveaux, de tous horizons, unis par la même passion et le même objectif : rallier Cassis.
Cette masse de coureurs crée une ambiance unique. Dès le départ sur le Vieux-Port, l’atmosphère est électrique. Les cris, les encouragements, l’accent marseillais qui chante… On est loin de l’ambiance aseptisée de certaines courses internationales. Ici, c’est brut, c’est vrai, c’est vivant.
Le public marseillais : un 13ème homme précieux
Si tu n’as jamais couru à Marseille, tu ne peux pas comprendre. Le public local ne se contente pas de regarder passer les coureurs. Il vit la course, il la ressent, il la porte. Chaque grimpeur qui souffre dans le col reçoit des encouragements tonitruants. Chaque finisseur qui se traîne vers Cassis est acclamé comme un héros.
Cette ferveur populaire peut donner des ailes. Quand tu es dans le dur, au bout du rouleau, que tes jambes ne répondent plus, entendre ces Marseillais te hurler « Allez, tu peux le faire, vas-y fada ! » ça te redonne un coup de boost incroyable. Jimmy Gressier, habitué aux stades feutrés de la piste, va découvrir une autre dimension du soutien public.
Les outsiders à ne pas négliger
Dans toute grande course, il y a toujours des outsiders capables de créer l’exploit. Des coureurs qui arrivent sans le statut de favori mais avec une préparation au cordeau et une motivation débordante. Le Marseille-Cassis en a vu défiler des tombeurs de favorites au fil des décennies.
Ces coureurs de l’ombre possèdent souvent un avantage psychologique : personne ne les attend, personne ne les surveille. Pendant que Gressier sera scruté, analysé, marqué peut-être, eux peuvent tranquillement dérouler leur plan de course. Et surgir au moment décisif pour frapper le grand coup.
Les locaux en quête de gloire
Gagner le Marseille-Cassis quand tu es Marseillais, c’est un peu comme soulever la Ligue des Champions au Vélodrome. Un rêve absolu. Chaque année, des coureurs régionaux se présentent avec l’espoir secret de réaliser l’impossible. Motivés par leur connaissance parfaite du terrain et portés par leur public, ils peuvent surprendre.
Ces athlètes connaissent chaque virage, chaque portion de goudron abîmé, chaque endroit où le vent souffle fort. Ils ont reconnu le parcours des dizaines de fois, testé différentes stratégies, affiné leur approche. Cette expertise locale ne s’achète pas, elle se construit année après année.
Les conditions météo : un facteur X
Impossible de parler des favoris sans évoquer la météo. Le Marseille-Cassis se court en octobre, période généralement clémente sur la Côte d’Azur. Mais on sait tous que la Méditerranée peut réserver des surprises. Un coup de mistral violent et tout le scénario change.
Le vent peut transformer la descente finale en véritable calvaire. Imaginez dévaler vers Cassis avec des rafales qui te freinent, qui te déportent, qui t’obligent à lutter pour maintenir ta trajectoire. Les coureurs les plus lourds, généralement désavantagés en montée, retrouvent ici un avantage. Leur masse les stabilise face aux bourrasques.
À l’inverse, une journée ensoleillée et sans vent favorise les purs talents. Jimmy Gressier priera certainement pour un temps clément qui lui permettra d’exploiter pleinement ses qualités aérobies. Dans ces conditions idéales, sa machine de guerre pourrait tourner à plein régime et martyriser la concurrence.
Les pronostics : mission impossible ?
Alors, qui va gagner ce Marseille-Cassis 2025 ? Honnêtement, parier sur une course aussi incertaine relève de la divination. Jimmy Gressier part logiquement favori compte tenu de son niveau stratosphérique sur piste. Sa cylindrée devrait faire la différence dans le col de la Gineste.
Mais le sport nous réserve régulièrement des surprises. Un jour sans pour Jimmy, une forme exceptionnelle d’un outsider, des conditions météo défavorables… Les paramètres sont nombreux. C’est d’ailleurs ce qui rend cette course aussi passionnante. L’incertitude totale jusqu’à la ligne d’arrivée.
Voici ce qu’on peut raisonnablement anticiper :
- Si les conditions sont idéales – Jimmy Gressier devrait s’imposer avec autorité, sa puissance faisant la différence
- Si le vent se lève – Les coureurs plus lourds et expérimentés sur route auront leur chance
- Si un groupe se forme au sommet du col – La descente décidera entre les meilleurs descendeurs
- Si un Africain de l’Est est de la partie – Ne jamais parier contre leur résistance légendaire en montée
- Si un local inspire – L’émotion et la connaissance du terrain peuvent créer l’exploit
Au-delà de la gagne : l’esprit Marseille-Cassis
Franchement, peu importe qui franchira la ligne en premier. Bien sûr, on attend Jimmy avec impatience, on espère le voir dominer, on rêve d’un chrono de malade. Mais le Marseille-Cassis transcende la simple question du vainqueur. Cette course incarne une philosophie, un art de vivre méditerranéen où la performance côtoie le plaisir.
Les 20 000 coureurs qui vont s’élancer ne courent pas tous pour la gagne. Certains visent un chrono, d’autres une simple ligne d’arrivée, beaucoup recherchent juste l’expérience unique de traverser ces paysages sublimes. Et c’est ça aussi qui rend cette épreuve magique : elle parle à tous, du champion au jogger du dimanche.
Jimmy Gressier l’a compris en acceptant ce défi. Il ne vient pas juste ajouter une ligne à son palmarès. Il vient se confronter à une légende, s’immerger dans une culture du running différente, découvrir ce que signifie vraiment courir dans le Sud. Et ça, aucun chronomètre ne peut le mesurer.
Alors rendez-vous sur la ligne de départ pour cette édition 2025 qui promet d’être mémorable. Que le meilleur gagne, certes, mais surtout que cette plus belle course du monde continue de faire vibrer les cœurs et trembler les mollets. Parce qu’au final, qu’on soit favori ou anonyme, on court tous pour la même raison : l’amour du bitume, l’ivresse de l’effort, la communion avec ces paysages à couper le souffle. Allez, bon vent les fadas !
Quentin, 26 ans, passionné de trail : suivez mes aventures au cœur des sentiers, entre défis sportifs et communion avec la nature.
